
Drôle de nom… Mais c’est vrai qu’elles tentent d’être drôles… Non pas en faisant des blagues mais en étant surprenantes dans la façon d’aborder la vie quotidienne. Vous vous souvenez « free hugs » ? « J’étreins gratuitement » pourrait-on traduire. C’était surprenant et tellement plein de tendresse que tous nous avons craqué.
Les drôles de femmes sont plus discrètes pour l’instant. Mais elles ont une éthique bien prometteuse : tenter de s’élever au dessus des partis au lieu de prendre parti, proposer au lieu de critiquer, poser des questions au lieu de s’agacer. Alors comme ce n’est pas si facile elles se retrouvent pour partager leurs difficultés et s’entraider, parfois avec mon aide.